Ramadan à Gaza : entre souffrance et résilience spirituelle

L’article d’Esraa Abo Qamar, publié sur Mizane.info, offre un témoignage poignant sur la manière dont les habitants de Gaza vivent le mois sacré du Ramadan dans un contexte de guerre et de destruction.
Introduction
Le Ramadan, période de jeûne et de prière, est traditionnellement synonyme de festivités et de rassemblements familiaux. Cependant, à Gaza, les récentes guerres ont profondément altéré ces traditions, transformant cette période en un temps de douleur et de résilience.
Impact de la guerre sur le Ramadan à Gaza
Les conflits ont laissé des traces indélébiles sur la vie quotidienne des Gazaouis. Les mosquées, lieux centraux durant le Ramadan, ont été détruites, privant les fidèles de leurs repères spirituels. Les rassemblements familiaux pour l’iftar (rupture du jeûne) sont marqués par l’absence de proches disparus, et les repas, autrefois abondants, se limitent souvent à des conserves partagées dans l’obscurité, faute d’électricité.Mizane
Résilience et foi des Gazaouis
Malgré ces épreuves, l’essence du Ramadan perdure à Gaza. Les habitants continuent de pratiquer leurs prières, même dans des maisons endommagées ou des tentes, et maintiennent leur foi intacte. Cette résilience témoigne d’une profonde spiritualité et d’une capacité à trouver de l’espoir malgré les circonstances difficiles.
Conclusion
L’article souligne la capacité des Gazaouis à préserver l’esprit du Ramadan malgré la perte des traditions festives. Leur foi demeure inébranlable, illustrant une force intérieure remarquable face à l’adversité.
Pour en savoir plus, je vous invite à consulter l’article complet via ce lien : Gaza : « L’esprit de fête a disparu, mais l’essence du Ramadan est là ».